Groupe Sida Jura

1er décembre: Journée mondiale de lutte contre le sida

Expo des travaux des étudiant.e.s de la HEP

Réflexions après témoignages de personnes vivant avec le VIH

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Comme chaque année le 1er décembre est la journée de la lutte contre le sida. Un jour de réflexion, d’hommage à toutes les personnes qui ont souffert et ont été tuées par cette maladie, un jour pour lutter contre la désinformation , l’exclusion et la stigmatisation des personnes atteintes par le VIH le  virus du sida, qui grâce é la trithérapie  ne tue plus, mais accompagne, souvent dans la souffrance pendant toute une vie l’existence des personnes touchées. Les nouvelles générations qui n’ont pas vécu les années terribles du début de la pandémie restent souvent dans l’insouciance et la banalisation en prenant parfois des risques réels.

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Mais cette jeunesse est-elle vraiment insensible à la souffrance provoquée par le VIH? Pas vraiment, si elle est confrontée à la réalité, comme le démontrent les travaux  des étudiant.e.es de la HEP-bejune  qui ont été exposées dans le hall de l’Hôpital du Jura à Delém.

Sous la direction de l’enseignante Mme Muriel Daucourt les étudiant.e.s ont été invité.e.s à exprimer leurs sentiments , leurs émotions, leur colère et rage par des créations artistiques  après avoir écouté les témoignages poignants de Sandrine et Bertrand, deux personnes vivant avec le VIH.

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Vernissage: les mot de Mme Muriel Daucourt, prof ddes Arts Visuels:

"Cette exposition est née de la rencontre des étudiants de la HEP-bejune et de deux témoins de l’association Sda Jura. Sandrine et Bertrand sont venus témoigner dans notre classe et les étudiants avaient pour consigne d’imaginer une production d’après cette expérience.
Leur témoignage est puissant, touchant avec des haut et des bas, toujours sans embellir ou noircira la situation. Les étudiants ont apprécié le fait que c’est la personne-même qui parle de son vécu et non pas des « on a dit que… » « il paraît que… » ». Il y a eu ensuite des questions auxquelles Sandrine et Bertrand ont répondu sans tabou, avec un vrai langage humain- On a parlé vies, discrimination, médicaments, sentiments, famille, amour, maladie sexualité, décès…
De mon temps, avoir le sida, c’est bientôt mourir, aujourd’hui c’est médicaments à perpétuité comme dit Bernard. L’information et la prévention présentent les meilleures armes contre ce terrible virus.
Venons-en aux productions des étudiants.
Nous ne sommes pas une école d’at, nous formons les futures enseignants dans tous les branches et notamment dans les Arts Visuels Comme je le disse toujours:  « Il n’y a pas de mauvais thèmes en Art Visuels ». Tout peut être expliqué même et surtout un témoignage.
Les étudiants avaient la liberté de support, de matériel et d’outils pour exprimer leurs ressenti après la discussion.
Je dois reconnaître que leur travaux sont intéressants et qu’ils ont réussi à exprimer leurs sensations de manière tout à fait personnelle et pleine  de qualités.
Je vous invite  à observer leurs productions et je les félicite de leur remarquable participation. "

UN GRAND merci  aux étudiant.e.s, à Mme Muriel Daucaout, mais aussi à l'Hôpital du jura et ses médecinbs infectiologues !

L'expo

Le vernissage

Les travaux des étudiant.e.s

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